6 Rue Rabanis,
33800 Bordeaux
05 57 95 92 81
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
La compagnie est en convention avec le Ministère de la Culture et de la Communication-DRAC Nouvelle-Aquitaine.
Elle est soutenue par la région Nouvelle–Aquitaine, le Conseil départemental de la Gironde et la Ville de Bordeaux.
Association Loi 1901
Président : Jean-Marc LIEVIN
Trésorier : Soupha PHILAKHAM
Siret : 421 767 039 00041
APE : 9001 Z
Licence d'entrepreneur du spectacle : L-R-20-005979
Plus qu’une compagnie de théâtre, Opéra Pagaï pourrait se définir comme une compagnie de création en espace public. Depuis plus de vingt ans nous poétisons les villes par la création d’utopies éphémères. En détournant l’architecture, en introduisant du rêve dans la réalité, en modifiant les paysages quotidiens des habitant.es, nous interrogeons notre vivre ensemble, nos manières d’habiter la ville, de la partager. Tour à tour ou en même temps, nos propositions artistiques d’ampleur, nos dispositifs de mise en scène du territoire viennent questionner nos usages de l’espace public en mettant dans la même perspective, intime, social et politique.
Nous pouvons choisir d'agir sur la population non prévenue par des interventions urbaines au long cours, comme nous pouvons embarquer le public dans des propositions théâtrales hors les murs, hors normes, des épopées qui peuvent durer jusqu'à une nuit dans une vallée toute entière. Ces endroits à dimensions variables que sont les territoires urbains ou ruraux sont pour nous des espaces de liberté, des terrains d'expérimentation sans cesse renouvelés.
Nos créations en espace public sont toujours contextuelles : elles sont écrites en prenant en compte à la fois la réalité physique, géographique, architecturale d'un territoire, mais aussi la dimension culturelle, humaine, sociale (les deux étant bien entendu liées). Nous aimons étudier chaque ville et ses singularités, à partir de la découverte de son patrimoine humain, dénicher dans l'anodin, le singulier et l'universel. Nous nous posons toujours la question : qu'avons-nous à dire ici, que nous n'aurions pas à dire ailleurs ?